Elle te comparait à un
papillon, aspirant le nectar jusqu’à plus soif puis s’envolant vers une
lointaine lumière. Pour moi, tu serais plutôt un bourdon, s’éloignant
maladroitement d’une fleur trop délicate à butiner. La tige plierait sous ton
poids. Les pétales tomberaient, pollen pillé sans pouvoir te rassasier.
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