Il
suffirait qu'on se dise que c'est infiniment absurde, mais qu'on ne veuille de
toute façon pas comprendre. Il suffirait qu'on ne les oublie jamais, ces mots absurdes qui adoucissent une nuit. Non. On devrait juste se taire après
tout. Hurler en silence à quel point le bonheur est un écho de l'enfer qui
attend une brèche pour imploser, à ces heures perdues.
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